FRANCE INTER (2013) Le suicide des agriculteurs

 FRANCE INTER , Emission « Le téléphone sonne » (28/10/2013) Le suicide des agriculteurs

Selon l’Institut de veille sanitaire, sur les bases d’une étude inédite, 485 agriculteurs se sont donnés la mort en France de 2007 à 2009. Pourquoi tant de drames se nouent-ils dans les campagnes françaises ?

Conseil Economique Social et Environnemental (2013) « le suicide : plaidoyer pour une prévention active »

CESE (12 Février 2013) ; Le CESE a voté son Avis sur « le suicide : plaidoyer pour une prévention active »

Le conseil économique, social et environnemental préconise une politique active de prévention autour de 6 axes, dont la création d’un observatoire national du suicide. Dans cet avis, le CESE plaide aussi pour la formation des professionnels : Les « personnes a priori ressources », dont font partie les personnels pénitentiaires, « doivent être mieux formés à la prévention du suicide ».

Véritable problème de santé publique avec presque 11 000 décès chaque année en France et 220 000 tentatives, le suicide n’est pas une fatalité. 20 ans après une première étude qui a consacré le suicide « grande cause de santé publique», le Conseil économique, social et environnemental plaide pour la poursuite et l’amplification de la prévention du suicide. C’est tout le sens de l’avis confié à Didier Bernus par la section des affaires sociales et de la santé, présidée par François Fondard, intitulé : « Le suicide : plaidoyer pour une prévention active ».

Véritable problème de santé publique avec presque 11 000 décès chaque année en France et 220 000 tentatives, le suicide n’est pas une fatalité. 20 ans après une première étude qui a consacré le suicide « grande cause de santé publique », le Conseil économique, social et environnemental plaide pour la poursuite et l’amplification de la prévention du suicide. C’est tout le sens de l’avis confié à Didier Bernus par la section des affaires sociales et de la santé, présidée par François Fondard, intitulé : « Le suicide : plaidoyer pour une prévention active ».  Cet avis de la section des affaires sociales et de la santé du CESE, rapporté par Didier Bernus, a été voté ce jour en séance plénière avec : 166 votants ; 123 voix pour ; aucune voix contre et 43 abstentions.

« SUICIDE : PLAIDOYER POUR UNE PREVENTION ACTIVE »

Note de synthèse

Monique SÉGUIN (2000) Comment désamorcer une crise suicidaire avant la phase aiguë ou le passage à l’acte?

Monique SÉGUIN (2000) Comment désamorcer une crise suicidaire avant la phase aiguë ou le passage à l’acte?

Monique SÉGUIN, Ph.D.; Directrice du programme de psychologie – Université du Québec à HullDirectrice du Laboratoire de recherche sur le suicide et le deuil – Centre de recherche Fernand-Seguin Hôpital Louis-H. Lafontaine, Montréal

Nous répondrons à cette question en développant quatre points. Premièrement, nous élaborerons brièvement le cadre théorique de la progression de la crise permettant de préciser les objectifs d’intervention qui favoriseront la gestion de la crise suicidaire.
Le deuxième point abordé permettra de constater qu’il existe des divergences dans la conception de l’intervention en situation de crise. Nous présenterons trois modèles issus de l’analyse de différentes pratiques. Ces modèles conceptuels de l’intervention en situation de crise varient en fonction des professionnels qui réalisent l’intervention. Comme il existe des différences entre les intervenants professionnels et les intervenants paraprofessionnels, nous tenterons de distinguer les rôles de chacun et les champs d’expertise des uns et des autres, selon une approche d’effets différentiels.
Troisièmement, nous aborderons un aspect essentiel permettant de désamorcer une situation de crise, c’est-à-dire l’évaluation du potentiel suicidaire. Cette évaluation s’avère une étape nécessaire afin de déterminer quel type d’intervention d’urgence doit être mis en place. Cette méthode d’évaluation du potentiel suicidaire devrait être connue de tous les intervenants auprès de personnes en phase de crise.
Quatrièmement, nous proposons des stratégies d’intervention selon une séquence qui favorise l’apprentissage ou l’enseignement de cette approche.

Comment desamorcer une crise suicidaire avant la phase aigue ou le passage a lacte

Auditions publiques (25/26 novembre 2009) Effets et conséquences du suicide sur l’entourage : modalités d’aide et de soutien

Audition Publique organisée par la Fédération Française de Psychiatrie (25/26 novembre 2009) : Effets et conséquences du suicide sur l’entourage : modalités d’aide et de soutien 

Un problème de santé publique :

Si le suicide représente environ 11.000 morts par an et touche l’ensemble de la population par les informations qui en sont fréquemment rapportées, ce sont entre cinq et dix personnes en moyenne qui sont profondément touchées par le suicide d’un proche ou par un suicide dont ils sont témoins.

L’impact du suicide sur l’entourage du suicidé est sans doute difficilement mesurable pour le nombre de personnes touchées, il est aussi difficilement mesurable sur la durée car on sait l’impact à long terme des images et affects fixés dans le psychisme de ces témoins.

On estime donc à 100.000 personnes touchées par un suicide dans l’année et au vu de l’impact durable de cet acte sur la population il y a lieu de préciser quels sont les retentissements à distance, et quels sont les risques pour la santé, pour la population proche et pour la société .

Conclusion générale
L’ensemble des groupes, des constations et réflexions, indiquent qu’il y a des besoins de soutien, d’aide, de soins et de traitements auxquels on a plus ou moins accès, et qui sont dans l’ensemble mal définis.  Le Jury prend le risque de proposer les définitions suivantes :
le soutien est représenté par une présence, éventuellement passive, discrète, mais effective, physique auprès d’une personne en état de choc, dans une situation de malaise et hors d’état d’exprimer une opinion. La présence de personnes sensibilisées et attentives offre une possibilité de liens affectif et social avec d’autres ;
l’aide implique un acte d’assistance à une personne susceptible soit de l’entendre soit de le demander  ; les professionnels ont à mettre à disposition des personnes, des possibilités d’aides, mais cela ne nécessite aucune formation professionnelle préa lable ; cependant un acte d’assistance auprès d’une personne troublée peut nécessiter pour l’aidant un soutien second, lequel aura de plus une valeur formatrice.
Certaines situations de deuil après suicide s’avèrent se compliquer et exigent l’intervention professionnalisée, sur indication d’un professionnel, de psychothérapies, d’assistance médicamenteuse, d’assistance institutionnelle, au niveau d’interventions temporaires (et préventives) ou à titre thérapeutique (soins et traitements). La complexité réelle, et le constat que ce type d’organisation en réseau existe déjà ici et là de manière spontanée, montrent à l’évidence qu’il s’agit de donner à l’ensemble des intervenants, ceux qui subissent et ceux qui agissent, des niveaux de connaissances nettement supérieurs à ceux dont ils disposent actuellement. Pour cela le recueil d’informations et la recherche sont
nécessaires, ainsi qu’une meilleure diffusion des informations.

http://www.psydoc-france.fr/conf&rm/conf/endeuilles/recoEndeuilles.pdf

Guide d’évaluation du risque de suicide, Une ressource pour les organismes de santé (CA)

Guide d’évaluation du risque de suicide, Une ressource pour les organismes de santé (CANADA)

Le présent Guide d’évaluation du risque de suicide : Une ressource pour les organismes  de santé a été rédigé par l’Ontario Hospital Association (OHA) en partenariat avec l’Institut canadien pour la sécurité des patients (ICSP) afin d’aider les organismes de santé à comprendre et à normaliser la procédure d’évaluation du risque de suicide pour qu’elle en soit une de grande qualité.

Le présent guide se fonde sur une analyse du contexte de la littérature portant sur les études examinées par les pairs, les pratiques exemplaires et les politiques concernant les processus, principes et outils d’évaluation du risque de suicide. L’approche méthodologique ayant permis de concevoir le guide est présentée à l’annexe A. Des entrevues ont également été menées auprès de 21 intervenants experts issus de divers milieux culturels, ethniques, géographiques, démographiques et professionnels et de divers secteurs de la santé. Ces entrevues ont permis de compléter l’analyse du contexte et de tenir compte de certains aspects contextuels dans le cadre de l’évaluation du risque de suicide menée dans diverses situations et auprès de personnes ayant des antécédents variés. Les résultats de l’analyse du contexte et des entrevues ont débouché à l’élaboration de quatre sections :

I. La première section donne un aperçu des principes, des processus et des considérations en matière d’évaluation du risque de suicide afin de faciliter cette évaluation dans divers milieux de soins de santé.
II. La deuxième section recense les outils d’évaluation du risque de suicide en précisant leurs propriétés psychométriques et en formulant des recommandations d’utilisation.
III. La troisième section établit un cadre pour l’évaluation du risque de suicide, notamment l’utilisation des outils d’évaluation du risque de suicide et des recommandations sur la surveillance de la qualité du processus d’évaluation de ce risque.
IV. La quatrième et dernière section fournit aux organismes de santé des ressources, notamment des concepts clés, des trucs et des diagrammes, qui peuvent être reproduites et affichées dans le milieu de soins. De plus, la méthodologie du projet y est expliquée plus en détail, et les références aux ouvrages cités sont énumérées.

http://www.oha.com/FinalFrenchVersion20o2SuicideRiskAssessmentGuidebook.pdf

INSERM (2008) Application de l’autopsie psychologique aux suicides survenus en détention

INSERM (2008) Application de l’autopsie psychologique aux suicides survenus en détention

Chaque année, environ 120 personnes détenues décèdent par suicide dans les établissements pénitentiaires français (Baron-Laforet, 2001 ; Administration pénitentiaire, 2002 ; Terra, 2004a). L’opportunité de développer les méthodes de l’autopsie psychologique pour ces décès doit être examinée comme pour les autres milieux de vie et les différentes populations à risque. Parmi les arguments principaux en faveur de cette voie de recherche figurent le caractère inacceptable de la mort par suicide au cours de la détention ainsi que la volonté politique relayée par l’ensemble des professionnels et bénévoles de réduire cette mortalité. En 2001 et 2002, la crise suicidaire avait été détectée pour seulement 25 % des personnes décédées par suicide (Administration pénitentiaire, 2002). Un plan de prévention mis en place à partir de 2004 semble apporter ses premiers résultats en 2006 avec 93 décès par suicide et 96 en 2007.

http://www.ipubli.inserm.fr/

Si le lien est brisé: autopsie_psychologique_suicides_survenus_en_prison

Actes de la Journée et Rapport d’évaluation « Elus, décideurs : quelles responsabilités face au suicide ? » (2011)

Actes de la Journée et Rapport d’évaluation « Elus, décideurs : quelles responsabilités face au suicide ? »
Jeudi 03 février 2011

codesOuverture par Marie-France Berthier, Présidente du CODES de l’Indre
« Merci à vous, qui avez pris de votre temps, pour participer à cette journée dont le thème interpelle et interroge.
Nous avons souvent des difficultés à utiliser le mot suicide. Il porte en lui, la mort, la grande souffrance, le désespoir, tous ces états qui nous font peur. Comme à plusieurs on est plus fort, nous avons décidé de vous convier cette année vous, responsables à différents niveaux, d’établissements, de structures, de collectivités locales, élus, porte-parole de vos concitoyens, qui avez pu être confrontés à des situations de suicide ou de tentatives de suicide dans votre environnement professionnel ou représentatif. Dans tous les cas vous êtes également des citoyens forcément concernés par cette question de santé publique. Depuis 3 ans maintenant nous relayons la Journée Nationale par une conférence et un temps de travail en commun pour s’informer mutuellement , faire connaître et poursuivre la démarche de maillage territorial afin de réduire le nombre de suicide et mieux dépister et accompagner les personnes en souffrance. L’année dernière nous avions axé le propos, sur « Suicide et Opinions « en direction des professionnels médicaux, sociaux et éducatifs .Nous avons présenté l’épidémiologie, la réalité des chiffres . Nos intervenants étaient le Dr Lutsmann, médecin généraliste, enseignant chercheur en sociologie et le Dr Debout médecin psychiatre et président de l’Union nationale pour la prévention du suicide. Depuis cette rencontre un travail, animé par le Dr Lutsmann vient de démarrer avec des généralistes du département. L’année précédente nous avions regroupé les personnes ayant bénéficié depuis 2004 de la formation au repérage de la crise suicidaire, label Professeur Terra, environ 200 personnes à ce jour. Nous avons beaucoup de plaisir d’avoir parmi nous aujourd’hui le Professeur Jean-Louis Terra car son temps est précieux et sollicité. Le travail qu’il a mené sur le repérage de la crise suicidaire à partir des années 98/99 a été un vrai moteur pour investir le territoire national dans une démarche de prévention du suicide. Dans le département de l’Indre la structuration et la coordination de cette prévention a 10 ans maintenant. 10 ans, c’est long, mais c’est aussi court pour sensibiliser, expliquer, bâtir en commun une cohérence d’actions.

http://codes36.fr/docs/ActesEvaluation03fev2011.pdf

INSERM (2010) Suicide et activité professionnelle en France: premières exploitations de données disponibles

Rapport INSERM (2010): Suicide et activité professionnelle en France: premières exploitations de données disponibles

La conduite suicidaire est un processus complexe et multifactoriel. S’il est aujourd’hui difficile de comptabiliser le nombre exact de suicides en lien avec le travail, il existe néanmoins certaines données permettant d’approcher cette problématique. Cette étude a pour objectif de décrire la mortalité par suicide et son évolution au cours du temps dans la population des salariés (hommes) selon les secteurs d’activité auxquels ils appartiennent. La description de la mortalité par suicide provient du projet Cosmop du Département santé travail de l’InVS. Il s’appuie sur les données issues du panel DADS (Déclaration annuelle des données sociales) de l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) couplées aux causes médicales de décès du CépiDc (Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de décès) de l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Les taux de mortalité par suicide (standardisés sur l’âge) ont été calculés chaque année de 1976 à 2002 selon le secteur d’activité de l’employeur et le groupe socioprofessionnel du salarié. Sur la période 1976-2002, le taux standardisé de mortalité par suicide est estimé à 25,1/100 000 (en population ce taux est de 33,4/100 000, même standardisation). On ne constate pas d’évolution notable au cours du temps. En revanche, les taux de mortalité diffèrent sensiblement selon les secteurs d’activité. Le secteur de la santé et de l’action sociale présente le taux de mortalité par suicide le plus élevé (34,3/100 000) puis viennent ensuite les secteurs de l’administration publique (en dehors de la fonction publique d’État) (29,8/100 000), de la construction (27,3/100000) et de l’immobilier (26,7/100 000). L’analyse par groupe socioprofessionnel montre des taux de mortalité près de trois fois plus élevés chez les employés et surtout chez les ouvriers par rapport aux cadres. Cette étude montre des inégalités de mortalité par suicide selon les secteurs d’activité. On observe, en revanche, une relative stabilité dans le temps dans cette population au travail entre 1976 et 2002, superposable à l’évolution observée en population générale. Malgré certaines limites (en particulier l’absence de la population d’étude de salariés de la fonction publique d’État) cette étude permet de proposer une première approche des liens entre suicide et activité professionnelle en France.

rapport_suicide_activite_professionnelle_france

ROYAUME-UNI (2002) National Suicide Prevention Strategy for England

National Suicide Prevention Strategy for England (2002)

Suicide is a devastating event. Its emotional and practical consequences are felt by family and friends and the many statutory and voluntary agencies involved in the provision of health and social care. Although the rate of suicide in England is not high in comparison with other countries in the European Union, the figures remain disturbing. On average, a person dies every two hours in England as a result of suicide. It is the commonest cause of death in men under 35. It is the main cause of premature death in people with mental illness. The Government’s White Paper Saving Lives: Our Healthier Nation sets out a challenging target to reduce the death rate from suicide and undetermined injury by at least a fifth by the year 2010. There is no single route to achieving this target. The factors associated with suicide are many and varied – they include social circumstances, biological vulnerability, mental ill-health, life events and access to means. A coherent, co-ordinated suicide prevention strategy therefore needs the collaboration of a wide range of organisations and individuals.  This document sets out a suicide prevention strategy for England. It follows a consultation document published in April. We intend it to be an evolving strategy which will develop in light of progress made and emerging evidence. Implementation will be led by the newly established National Institute for Mental Health in England which will make suicide prevention one of its core policy programmes.

National Suicide Prevention Strategy for England – Septembre 2002

REPÈRES (2009) Eléments de connaissance et d’approfondissement pour la prévention des crises suicidaires

Eléments de connaissance et d’approfondissement pour la prévention des crises suicidaires (2009). REPERES

Ces éléments de connaissance et d’approfondissement pour la prévention des gestes suicidaires est le fruit d’un long travail qui a mobilisé, sous le pilotage de la Direction en charge des ressources humaines notamment au travers de l’expert scientifique du bureau de l’organisation du travail et de la prévention, un groupe de travail constitué sous l’égide du Comité Central d’Hygiène et de Sécurité. Ce dernier a permis la réalisation du dispositif de prévention des gestes suicidaires grâce à la participation active des représentants du personnel, de représentants du réseau national des médecins de prévention, du réseau des assistants de service social et des conseillères sociales territoriales, de secrétaires généraux ou directeurs de service. (…)

Dans le domaine du travail, les études menées sur le sujet des suicides démontrent que le milieu professionnel peut-être un facteur de protection contre les comportements suicidaires, même si dans certains cas les conditions de travail peuvent intervenir dans ce processus complexe. Pour autant, des événements tragiques se produisent et l’entourage va développer un sentiment de culpabilité qui doit être utilisé comme une dynamique de réflexion afin de dépister les risques potentiels mais aussi et surtout d’améliorer les facteurs de protection. Un comportement suicidaire peut en effet en générer d’autres et provoquer des suicides en cascade. Lorsqu’un suicide endeuille une collectivité de travail, il ne s’agit pas de rechercher, dans l’environnement professionnel, cause ou responsabilité systématiques du suicide : tout suicide a des causes multiples et la responsabilité, notamment pénale, d’autrui en cas de suicide ne sera susceptible d’être recherchée qu’en cas de complicité active, non assistance à une personne en péril ou encore provocation au suicide. Ce qui importe c’est d’améliorer les facteurs de protection au sein des collectifs de travail. Les tentatives de suicide doivent également faire l’objet d’un traitement très attentif car l’après crise suicidaire est une période très sensible. En effet, le suicide véhicule une image tabou et la guérison est un long processus. L’agent concerné reste fragile, il lui est difficile de dire qu’il a fait une tentative de suicide, d’où l’importance de la qualité de l’environnement professionnel lors de son retour au travail. La prévention du suicide implique bien sûr les médecins, quelles que soient leurs fonctions ou spécialités et les professionnels de santé en général, mais également l’entourage personnel et professionnel.

http://www.intefp-sstfp.travail.gouv.fr/