Notre association

Créée le 13.11.2015, l’association HUMANITAS est une association loi 1901 qui a pour objectif, d’intervenir auprès des organisations et des personnes dans le domaine des sciences humaines afin de prévenir ou de dépasser des situations difficiles.

HUMANITAS :

  •  Propose des actions de formation et de prévention auprès de tout public et professionnels intéressés par l’accueil,l’accompagnement et le soutien de personnes morales ou physiques.
  • Met à disposition des ressources humaines à des fins d’évaluation, d’analyses des pratiques et d’expertise.
  • Contribue à la recherche par l’organisation de rencontres scientifiques, par la publication et la diffusion de documents sélectionnés constituant un centre de ressources.

L’association propose de réunir un collectif pluridisciplinaire (formateur, enseignant, juriste, soignant, criminologue, psychologue…) généraliste, spécialiste ou expert dans son domaine de compétence.

Former à …

  • La prévention des violences
  • La communication non violente (C.N.V)
  • La médiation relationnelle
  • La relation d’aide
  • L’évaluation et la prise en charge post-traumatique
  • La laïcité, civisme et citoyenneté
  • La prévention des suicides
  • L’évaluation criminologique sur le modèle des Risques – Besoins – Réceptivité (R.B.R.)
  • Les techniques de recherche d’emploi

Accompagner vers …

  • Une proposition de guidance motivationnelle dans le cadre de l’accompagnement au changement
  • Une analyse des situations de crise
  • Un accompagnement dans les pratiques de conflictualisation
  • Un accompagnement au désistement criminel
  • L’acquisition d’habiletés relationnelles au travers de la médiation animale
  • La concrétisation de démarches administratives
  • Un lieu d’hébergement transitoire

Soutenir par …

  • La présence et la disponibilité d’une équipe pluridisciplinaire favorisant le lien social
  • Le renforcement d’habilités relationnelles et prosociales
  • La mise en relations avec des acteurs de la société civile
  • La recherche d’une place sereine et harmonieuse dans la vie en société

« Nous en avons tous fait l’expérience, nous pouvons parfois supporter l’inconfort et le manque de plaisir, si ce que nous endurons participe à un projet qui a du sens pour nous. Et le meilleur moyen de donner du sens est de rester en lien avec les autres, tout en manifestant le meilleur de nous mêmes. »
Thierry JANSSEN

Menace de suicide en direct chez Bernard Pivot (1992) Archive INA

Bernard PIVOT anime l’émission « Bouillon de culture ». Soudain un jeune homme barbu fait irruption sur le plateau en menaçant de se suicider avec un couteau si on ne le laisse pas s’exprimer au sujet du projet de loi étudiante « Jospin ». Après quelques minutes de discussion avec Bernard Pivot, sous la menace de se « transpercer le ventre » ou de « se couper la gorge », puis une brève coupure d’antenne, il quitte le plateau.
Images d’archive INA (Institut National de l’Audiovisuel)

THE COST OF PRISON SUICIDE (UK)

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The Howard League for Penal Reform

Obviously the main cost of prison suicides are the emotional pain for the family and friends, prisoners and prison staff and for all those who knew the individual who died, as well as the tragedy of a life cut needlessly short.

The Howard League for Penal Reform has raised awareness about prison suicides for many years, with increased attention over recent months which has seen the prison suicide rate shoot up.

Yesterday (12 February 2016), they published a research briefing on the financial costs of prison suicides in a further attempt to galvanise government action in suicide prevention.

The headline figures are shocking:

There were 95 suicides in prison in the 12 months to September 2015. It is estimated that the cost of these suicides is at least £160m and could be as high as £300m

What are the costs of prison suicides?

There has been no published research on the economic costs of prison suicide. The costs resulting from a suicide in prison are likely to be substantially higher than the average cost of suicide (itself estimated at £1.67 million) due to the impact a death has on the prison service as well as wider society.

If costs for the 95 suicides in prison in the 12 months to September 2015 were equivalent to the costs of a suicide in the community this would amount to around £150m.

However, the Howard League argues that additional costs associated with deaths in custody will likely substantially raise these costs. Taking these into account, the costs could be anywhere between £160m and £300m. Some of the extra costs are detailed below:

Financial impact on prisons

A death in custody will have an economic impact on prison budgets. Staff have to comply with statutory duties following the death of a prisoner and this will impact on their working day. Resources will also be required to provide additional counselling and support for staff and prisoners affected by the death.

This is of particular concern at a time when the number of prison sector staff has been reduced so sharply – 30% over the last three years.

Additionally, and unsurprisingly, studies on the impact of suicide on frontline staff have shown it can lead to increased rates of sickness and absenteeism, resulting in additional costs.

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Jake Wood (2012) A propos du suicide des veterans de la guerre d’Irak (VOST)

Jake Wood: A new mission for veterans — disaster relief

After fighting overseas, 92 percent of American veterans say they want to continue their service. Meanwhile, one after another, natural disasters continue to wreak havoc worldwide. What do these two challenges have in common? In telling the story of his friend Clay Hunt, Jake Wood from Team Rubicon reveals how veterans can contribute to disaster response — and regain their sense of purpose, community and self-worth..

Andrew Solomon (2013) Dépression, notre secret partagé

« The opposite of depression is not happiness, but vitality, and it was vitality that seemed to seep away from me in that moment. » In a talk equal parts eloquent and devastating, writer Andrew Solomon takes you to the darkest corners of his mind during the years he battled depression. That led him to an eye-opening journey across the world to interview others with depression — only to discover that, to his surprise, the more he talked, the more people wanted to tell their own stories.

« En 1991, j’ai subi une série de pertes. Ma mère est morte, une relation s’est terminée, je suis rentré aux États-Unis après quelques années à l’étranger, et je m’en suis sorti intact.

Mais en 1994, trois ans après, j’ai constaté que je me désintéressais de tout. Je ne voulais plus faire les choses que j’avais voulu faire auparavant, et je ne savais pas pourquoi. Le contraire de la dépressionn’est pas le bonheur, mais la vitalité, et c’était la vitalité qui paraissait me fuir à ce moment-là. Tout ce que j’avais à faire me semblait trop. Je rentrais à la maison et je voyais la lumière rouge du répondeur clignoter, et au lieu d’être ravi d’avoir des nouvelles des amis, je pensais : « Ça fait beaucoup de monde à rappeler. » Ou je décidais de prendre mon déjeuner, sauf qu’après, je pensais qu’il me faudrait sortir la nourriture, la mettre sur une assiette, la découper, la mastiquer, l’avaler, et c’était pour moi un supplice.

Une chose qu’on néglige souvent lorsqu’on discute de la dépression, c’est qu’on est conscient que c’est ridicule. On est conscient que c’est ridicule, alors qu’on l’éprouve. On est conscient que la plupart des gens arrivent à écouter leurs messages et à déjeuner et à s’arranger pour prendre une douche et à quitter la maison et ce n’est pas si terrible, mais pourtant, on est sous son emprise et on est incapable de trouver une façon de la contourner. Et alors je me suis rendu compte que je faisais moins de choses, que je pensais moins, que je ressentais moins de choses. C’était une sorte de vide. »

Yukio Shige : une vie consacrée aux plus désespérés

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Yukio Shige

Il s’appelle Yukio Shige et du haut de ses 65 ans, cet ex-policier japonais est devenu depuis quelques années l’ange-gardien de ceux qui veulent en finir avec la vie.  Depuis qu’il a pris sa retraite, cet homme a fait du site de Tojimbo (situé au nord-ouest de Tokyo) son nouveau poste de contrôle pour lui permettre de surveiller les candidats au suicide tentés de se jeter du haut des falaises qui plongent à pic dans la mer du Japon. Depuis que Yukio Shige a décidé de consacrer sa vie aux plus désespérés en tentant de leur parler pour les raisonner, l’homme peut s’enorgueillir d’avoir sauvé la vie de 271 personnes.

 

Talking them down: Part one from Inkerman Road on Vimeo.

 

Talking them down: Part two from Inkerman Road on Vimeo.

LA DÉPÊCHE (2014) France: 28 suicides par jour !

LA DEPECHE (05/02/2014) France: 28 suicides par jour !

Près de 28 décès par jour et 700 tentatives. Ces chiffres alarmants illustrent le problème de santé publique que représente le suicide. Au total, 10 359 Français se sont donné la mort.  A l’occasion  18èmes journées nationales pour la prévention du suicide ce 5 février, les associations appellent à davantage d’écoute et de prévention.

Les chiffres du suicide font froid dans le dos. Encore ne représentent-ils que la face émergée de l’iceberg… « L’Observatoire national du suicide – chargé notamment de dresser un état des lieux précis en France – n’a été lancé qu’en septembre 2013 », rappelle l’Union nationale pour la Prévention du Suicide (UNPS). Il faudra donc attendre pour obtenir des données officielles. Cependant, en compilant les données de l’Institut de Veille sanitaire (InVS) et de l’INSERM, l’UNPS est parvenue à dresser un tableau du suicide en France.

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Les hommes davantage concernés…

L’Ouest particulièrement touché